Malgré notre mobilisation et les nombreux avis reçus de toutes parts à la consultation publique demandant à l’administration et au Préfet de ne pas abaisser le niveau de protection des citoyens et des cours d’eau envers les pesticides, rien n’y a fait. Sous la pression d’une fraction du monde agricole tenante du modèle agricole le plus intensif et le plus polluant, le Préfet a pris le 24 juillet un arrêté qui constitue une véritable régression de la protection de la population contre les épandages de pesticides et aussi une régression du droit de l’environnement pourtant interdit par la Loi sur la Biodiversité du 8 août 2016.