Le préfet n’ayant même pas daigné répondre au recours gracieux que nous lui avions adressé le 14 septembre lui demandant de revoir la définition des zones non traitées, le conseil d’administration d’Indre Nature a fait le constat que toutes les tentatives de faire valoir notre point de vue par l’échange et la discussion avaient échouées. En conséquence il a décidé de faire un recours judiciaire devant le Tribunal administratif de Limoges contre l’arrêté préfectoral du 24 juillet.